Pourquoi "Deux Cents ?"

Je suis un artiste d'âge moyen qui a trouvé ma voix grâce à l'argile.

Je suis au milieu d'une famille de cinq enfants (quatre filles et un garçon), nés dans une famille d'entrepreneurs sur une ferme de 30 acres. J’ai prospéré en étant dehors. Fasciné par la mécanique du fonctionnement des choses, je me souviens avoir fait beaucoup de bricolage au cours de mes années de croissance. Je n’étais pas un bon élève et je regardais souvent par la fenêtre en souhaitant être ailleurs que dans la salle de classe. J'imaginais être archéologue, garde-parc ou explorateur, mais au moment où j'ai obtenu mon diplôme d'études secondaires, je n'avais toujours aucune idée de ce que je devais « faire » de ma vie.

J'ai rencontré mon mari au cours de ma troisième année d'université et j'ai obtenu mon diplôme avec ma « Mme ». et je n'ai jamais regardé en arrière. Nous avons eu deux filles au cours des six premières années de mariage et la vie était bien remplie en élevant les enfants. L'école à la maison, les chevaux, les chiens, les chats, le jardinage, plusieurs déménagements, des petits boulots pour aider à payer les factures et la vie a avancé au fil des années. Quand les enfants étaient tous les deux au lycée, j'ai été embauché comme assistant dans le département d'art de leur école, qui avait une salle entière dédiée à la céramique ! Pendant mon temps libre ou après l'école, j'ai appris les bases du centrage et du lancer sur la roue. J'étais accro.

Cela fait sept ans que j'ai commencé mon aventure avec l'argile. Les filles sont devenues des femmes et ma vie de mère occupée est devenue une vie de créatrice motivée et je suis sur le point de célébrer mes 27 ans en tant que Mme.

Personne ne voyage seul et je suis reconnaissant envers les mentors au fil des années d’apprentissage qui ont joué un rôle irremplaçable dans qui je suis aujourd’hui. Je suis un créateur à plein temps et j'aime entrer en contact avec des personnes qui travaillent dur dans leur domaine d'influence.

Le nom Two Cents Ceramics est basé sur l’idée de quelqu’un qui insère deux cents dans une conversation. Obligé de parler, qu'il soit invité ou non. Cela me rappelle également la veuve de la Bible qui a donné ses deux dernières pièces en offrande et l'a fait tranquillement, sans trop de bruit. Ces deux faces de la « médaille » me donnent un équilibre. Je suis obligé de faire et d'offrir ce que j'ai, mais je m'efforce également de le faire sans faste ni arrogance.

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Merci de votre attention,

Connie